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Castel Milac est une citée Bretonnienne surplombée par un château situé au sud de la route Khyprienne et au nord de l'ancienne route de la soie. Juchée sur un mont rocheux et cernée d'une foret de pin, elle figure une parfaite illustration de l'implémentation des croisés de Carcasonne au sein des principautés frontalières. Fondée par des exilés Tiléens, la culture locale est d’ailleurs un parfait mélange entre celle des immigrés de Carcassonne et de Tilée qui parcourent ces terres. De nombreux « trobadors » sont parsemés en ces terres à la recherches d'un gîte et d'une protection en échange de leurs récits. Les pierres d'ocres et les toits de tuiles font échos à l'architecture typique de la région, mis en valeur par le chant de rares cigales. Le seigneur du castel et Prince de ces terre : Peire III San-Guy régi un ensemble de plusieurs petites bourgades, qui seules ne pourraient assurer leur propre sécurité. En effet la région est dangereuse, et plusieurs nécromanciens hantent les nombreuses grottes de ces terres sauvages.
Les Hommes du Comté sont de nature aventureuse et sanguine. L'honneur a une plus grande valeur que l'or en ces terres et rares sont les insultes qui ne se règlent pas dans une ordalie. En effet, seule la Vierge Myrmidia ; la déesse locale ; est en mesure de trancher laquelle des causes des deux duellistes est la meilleure. Ainsi, est conseillé aux voyageurs de tenir leur langue, surtout lorsque le vin coule et fait parler les hommes. Si l'hospitalité est à la fois un devoir et un choix pragmatique en vue du faible taux de population des principautés frontalières, elle implique le respect de certaines règles de bien-séance tant de la part de l’hôte que de l'invité.
L'art chevaleresque occupe une place prédominante au sein du comté. Toute personne obéit à un ensemble de diktats régissant les droits et devoirs de chacun. Tout individu a sa place et doit s'y tenir. Du moins, c'est ce que la noblesse désirait voir appliqué en ces terres. Cependant, le faible taux de population oblige là aussi à un choix bien plus réaliste : Si les valeurs chevaleresque sont partagées par tout le tissu social, l'appartenance à la noblesse est quand à elle bien plus floue. Le noble d'hier peut devenir roturier de demain et ce, selon les aléas de sa situation. Le Prince a besoin d'hommes en arme pour assurer la défense de ses frontières et peu importe de si ces derniers retracent leur généalogie depuis Gille le Breton ou Tilos. En ça, peu de ses cousins bretonniens partagent le point de vue bien trop « Tiléen » pour eux . Par ailleurs, une déformation théologique est souvent cause de tension : la dame vénérée vient elle du lac ; ou se nomme-t-elle Myrmidia. Le castel se tient donc souvent seul face à ses ennemis et peu lui importe, seuls le courage, l'abnégation et la piétée sont des alliés indispensables à la réussite d'une campagne militaire.
Le Prince, seigneur ou « senhor » comme il se dit en ces terres : Peire III San-Guy est un fervent religieux. Deuxième fils de son père, il était destiné à une vie monastique et son épée à défendre la cause de la vierge Myrmidia. Cependant, une invasion de mort-vivant força le destin. Homme calme et sévère, son intransigeance est à l'image de sa bienveillance eu égard à ceux respectant ses lois. Armé de l'épée familiale qui dit-on a pourfendue un dragon, il se tient face à toute menace planant sur ses gens. Brun l'air austère et dont les joues creusées sont dissimulées derrière une épaisse barbe il est l'exemple typique de ce que son comté peut offrir. Bien que respectueux des traditions, la proximité de ses terres avec des citées tilléennes dont les armés reposent en grande partie sur la poudre à canon, l'oblige a voir un regard plus tempéré que ses cousins de Bretonie sur la question des armes à feu. Si il est impensable que la noblesse s'équipe de fusil ou « porta-vergonha » dans la langue locale, il est laissé au serf le droit de manier de grandes bombardes. Cependant, l’inexpérience de ces derniers se retourne régulièrement contre leurs camarades et un boulet peut tout autant frapper un ennemis qu'un allier. En réalité, ces armes sont d'avantage réservées à la poliorcétique.
Les Hommes du Castel sont facilement reconnaissables en ce qu'ils mélangent l'art militaire Bretonien et Tiléen. Leurs apparats ; souvent considérés comme excentriques par les soldats des levés environnantes ; leur permets de se distinguer et de faire naître trop souvent un sentiment de supériorité. Selon eux, la superbe hallebarde mise à leur disposition est bien plus affûtée et raffinée que celle des gardes citadines locales. Certains poussent même le vice jusqu'à mettre de grande plume sur leur casque. Mais ils sont rares, les Principautés frontalières ne laissant guère de place à la coquetterie. Les habitants du Castel se sentent donc infiniment supérieurs au reste de la paysannerie locale, quand bien même leur statut est ridiculement inférieur à celui de la noblesse locale.
Fondé suite à la croisade contre l’Arabie, le Castel est un lieu où se croise plusieurs ethnies et une importante communauté d'arabiens convertis à Myrmidia est venu s'installer avec les croisés. Ces derniers appelés « Aissadons » sont intégrés à la vie locale, bien que vivant en communauté et dont la culture est restée indépendante de celle de la majorité des habitants. Là encore, le faible taux de peuplement empêche toute division de la population. Les « aissadons » se montrent donc de loyaux sujets bien que ne pouvant posséder aucune terre et les locaux sont respectueux de leur coutume et figurent les garants de leur sécurité. La religion est un socle commun qui assure la cohésion sociale. Si foi occupe une place immense en ces terres, il n'est pas rare que des hommes du castel parcourent les Principautés frontalières dans l'objet de faire rayonner la vrai foi, celle de l'unique. Il est même dit que le Comte prépare une croisade en Kislev contre les démons de ces terres.
Formation : Exilés Bretonniens
Personnage | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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[Seigneur de Guerre]
Baron
: "Peire III San-Guy"
164
Le Prince, seigneur ou « senhor » comme il se dit en ces terres : Peire III San-Guy est un fervent religieux. Deuxième fils de son père, il était destiné à une vie monastique et son épée à défendre la cause de la vierge Myrmidia. Cependant, une invasion de mort-vivant força le destin. Homme calme et sévère, son intransigeance est à l'image de sa bienveillance eu égard à ceux respectant ses lois. Armé de l'épée familiale qui dit-on a pourfendue un dragon, il se tient face à toute menace planant sur ses gens. Brun l'air austère et dont les joues creusées sont dissimulées derrière une épaisse barbe il est l'exemple typique de ce que son comté peut offrir. Bien que respectueux des traditions, la proximité de ses terres avec des citées tilléennes dont les armés reposent en grande partie sur la poudre à canon, l'oblige a voir un regard plus tempéré que ses cousins de Bretonie sur la question des armes à feu.
La Dynastie des San-Guy détient de pouvoir depuis 5 générations, ce qui semble peu pour certains mais est en réalité un exploit en vue des menaces pesant sur cette région. Baudoin San-Guy son fondateur a participé aux croisades contre l'Arabie. Après d’innombrable exploits, il fait le choix de rentrer en Bretonie par la voie terrestre afin de « châtier » les horreurs de Nehekara. Mal lui en a pris, car il fut repoussé et rentra avec peu d'hommes et encore moins de vivres jusque dans les principautés Frontalières où il rencontra d'autre Croisés Bretoniens s'y étant installé. Ces derniers le persuadèrent de rester en vue de leur faible nombre ce qu'il accepta. Ne voulant se résigner à devenir un noble sans terres, Baudoin épousa la dirigeante Tiléenne d'une citée locale plus tard connue sous le nom de Castel Milac. Ce mariage était cependant justifié par un amour sincère. Et nombre de paysans racontent encore des balades au sujet des deux amants. Depuis ce jour, il est de coutume à ce que de nombreux mariages soient conclus entre le Castel et la Tilée. Peire III est donc l'héritier de cette culture atypique. Bien trop Tiléen pour les Bretoniens, bien trop Bretonien pour les Tiléens, il assume cependant ses fonctions avec courage et honneur ce qui forme un point d'accord constant avec ses interlocuteurs. Sa lame : Alisada de ròsa est réputée être la plus tranchante de sa principauté et ce depuis que l'un de ses ancêtres à pourfendu un dragon avec. Depuis ce jour, d'aucun disent qu'ils l'ont vu luire et demander d'être maniée quand elle passe trop de temps dans son fourreau. |
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Damoiselle
: "Eleanor de Quinsiliac"
90
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2 unités | 254 points | 8.47 % | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Base | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Chevaliers du Royaume à Pied (15)
183
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Chevaliers du Royaume à Pied (15)
183
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Chevaliers du Royaume Montés (6)
144
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Chevaliers du Royaume Montés (6)
: "Connétables de l'ordre du Drac Pourpre"
165
Représenté par un Dragon rouge sur fond d'émeraude l'ordre du Drac pourpre a été fondé par les survivants de la bataille du Drac, et donc les derniers survivants Bretonniens partis en croisade avec Baudouin. Il a pour mission d'éradiquer les horreurs se terrant sur les terres du comte. Ses chevalier parcourent donc les routes du Comté afin d'assurer la tranquillité des paysans sous leur juridiction. Il se veut également le bras armé de la Sainte Mirmidia en ces terres. Dans se cadre ils se sont donnés pour objectif de convertir le maximum de gens au culte de Mirmidia, parfois par la force. Il est cependant particulièrement apprécié de la population, les libérant régulièrement de fléaux et bêtes immondes. La noblesse composant le fer de lance de l'ordre et appelée « Connétables » est particulièrement fière de ses origines. Tous ne peuvent prétendre à ce rang au sein de l'ordre et seuls ceux pouvant prouver que leur ancêtre était un des nobles-compagnons de Baudouin San-Guy peuvent rejoindre leur rang. L'ordre et par ailleurs composé de miliciens et de levées d'archer formés par les paysans occupant les terres de l'ordre. En effet l'Ordre du Drac pourpre possède un ensemble de terres château et village lui permettant de remplir ses missions et maintenir ses effectifs élevés. C'est un État dans l’État. Les hommes de ces milices sont persuadés d’œuvrer pour une cause sainte et n'hésitent pas à accompagner leur commandant jusque dans le plus profond de la bataille. En dehors des temps où l'ordre part en guerre, ils assurent le maintient de l'ordre publique sur les terres de l'ordre.
L'Ordre est particulièrement opposé à la garde comtale et à sa volonté d'étendre son emprise sur toute les terres du comte. En effet l'Ordre est opposé à partager son pouvoir sur ses terres, et bien qu'ils soient les vassaux et dévoués des San-Guy, il ne veut que la couronne le suppléante dans ses possessions. Aussi il a pour ambition de devenir la garde rapprochée des San-Guy ; remplaçant leur propre hommes ; afin de devenir un réel contre-pouvoir au sein de l’État. |
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Chevaliers du Royaume Montés (8)
213
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Chevaliers du Royaume Montés (6)
144
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Chevaliers du Royaume Montés (6)
: "Connétables de l'ordre du Drac Pourpre"
165
Représenté par un Dragon rouge sur fond d'émeraude l'ordre du Drac pourpre a été fondé par les survivants de la bataille du Drac, et donc les derniers survivants Bretonniens partis en croisade avec Baudouin. Il a pour mission d'éradiquer les horreurs se terrant sur les terres du comte. Ses chevalier parcourent donc les routes du Comté afin d'assurer la tranquillité des paysans sous leur juridiction. Il se veut également le bras armé de la Sainte Mirmidia en ces terres. Dans se cadre ils se sont donnés pour objectif de convertir le maximum de gens au culte de Mirmidia, parfois par la force. Il est cependant particulièrement apprécié de la population, les libérant régulièrement de fléaux et bêtes immondes. La noblesse composant le fer de lance de l'ordre et appelée « Connétables » est particulièrement fière de ses origines. Tous ne peuvent prétendre à ce rang au sein de l'ordre et seuls ceux pouvant prouver que leur ancêtre était un des nobles-compagnons de Baudouin San-Guy peuvent rejoindre leur rang. L'ordre et par ailleurs composé de miliciens et de levées d'archer formés par les paysans occupant les terres de l'ordre. En effet l'Ordre du Drac pourpre possède un ensemble de terres château et village lui permettant de remplir ses missions et maintenir ses effectifs élevés. C'est un État dans l’État. Les hommes de ces milices sont persuadés d’œuvrer pour une cause sainte et n'hésitent pas à accompagner leur commandant jusque dans le plus profond de la bataille. En dehors des temps où l'ordre part en guerre, ils assurent le maintient de l'ordre publique sur les terres de l'ordre.
L'Ordre est particulièrement opposé à la garde comtale et à sa volonté d'étendre son emprise sur toute les terres du comte. En effet l'Ordre est opposé à partager son pouvoir sur ses terres, et bien qu'ils soient les vassaux et dévoués des San-Guy, il ne veut que la couronne le suppléante dans ses possessions. Aussi il a pour ambition de devenir la garde rapprochée des San-Guy ; remplaçant leur propre hommes ; afin de devenir un réel contre-pouvoir au sein de l’État. |
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Hommes d'Armes (20)
: "Milice de l'ordre du Drac pourpre"
104
Représenté par un Dragon rouge sur fond d'émeraude l'ordre du Drac pourpre a été fondé par les survivants de la bataille du Drac, et donc les derniers survivants Bretonniens partis en croisade avec Baudouin. Il a pour mission d'éradiquer les horreurs se terrant sur les terres du comte. Ses chevalier parcourent donc les routes du Comté afin d'assurer la tranquillité des paysans sous leur juridiction. Il se veut également le bras armé de la Sainte Mirmidia en ces terres. Dans se cadre ils se sont donnés pour objectif de convertir le maximum de gens au culte de Mirmidia, parfois par la force. Il est cependant particulièrement apprécié de la population, les libérant régulièrement de fléaux et bêtes immondes. La noblesse composant le fer de lance de l'ordre et appelée « Connétables » est particulièrement fière de ses origines. Tous ne peuvent prétendre à ce rang au sein de l'ordre et seuls ceux pouvant prouver que leur ancêtre était un des nobles-compagnons de Baudouin San-Guy peuvent rejoindre leur rang. L'ordre et par ailleurs composé de miliciens et de levées d'archer formés par les paysans occupant les terres de l'ordre. En effet l'Ordre du Drac pourpre possède un ensemble de terres château et village lui permettant de remplir ses missions et maintenir ses effectifs élevés. C'est un État dans l’État. Les hommes de ces milices sont persuadés d’œuvrer pour une cause sainte et n'hésitent pas à accompagner leur commandant jusque dans le plus profond de la bataille. En dehors des temps où l'ordre part en guerre, ils assurent le maintient de l'ordre publique sur les terres de l'ordre.
L'Ordre est particulièrement opposé à la garde comtale et à sa volonté d'étendre son emprise sur toute les terres du comte. En effet l'Ordre est opposé à partager son pouvoir sur ses terres, et bien qu'ils soient les vassaux et dévoués des San-Guy, il ne veut que la couronne le suppléante dans ses possessions. Aussi il a pour ambition de devenir la garde rapprochée des San-Guy ; remplaçant leur propre hommes ; afin de devenir un réel contre-pouvoir au sein de l’État. |
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Hommes d'Armes (19)
: "Le Bataillon de Cressac"
93
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Paysans Archers (22)
: "Levée d'archer de l'ordre du Drac Pourpre"
110
Représenté par un Dragon rouge sur fond d'émeraude l'ordre du Drac pourpre a été fondé par les survivants de la bataille du Drac, et donc les derniers survivants Bretonniens partis en croisade avec Baudouin. Il a pour mission d'éradiquer les horreurs se terrant sur les terres du comte. Ses chevalier parcourent donc les routes du Comté afin d'assurer la tranquillité des paysans sous leur juridiction. Il se veut également le bras armé de la Sainte Mirmidia en ces terres. Dans se cadre ils se sont donnés pour objectif de convertir le maximum de gens au culte de Mirmidia, parfois par la force. Il est cependant particulièrement apprécié de la population, les libérant régulièrement de fléaux et bêtes immondes. La noblesse composant le fer de lance de l'ordre et appelée « Connétables » est particulièrement fière de ses origines. Tous ne peuvent prétendre à ce rang au sein de l'ordre et seuls ceux pouvant prouver que leur ancêtre était un des nobles-compagnons de Baudouin San-Guy peuvent rejoindre leur rang. L'ordre et par ailleurs composé de miliciens et de levées d'archer formés par les paysans occupant les terres de l'ordre. En effet l'Ordre du Drac pourpre possède un ensemble de terres château et village lui permettant de remplir ses missions et maintenir ses effectifs élevés. C'est un État dans l’État. Les hommes de ces milices sont persuadés d’œuvrer pour une cause sainte et n'hésitent pas à accompagner leur commandant jusque dans le plus profond de la bataille. En dehors des temps où l'ordre part en guerre, ils assurent le maintient de l'ordre publique sur les terres de l'ordre.
L'Ordre est particulièrement opposé à la garde comtale et à sa volonté d'étendre son emprise sur toute les terres du comte. En effet l'Ordre est opposé à partager son pouvoir sur ses terres, et bien qu'ils soient les vassaux et dévoués des San-Guy, il ne veut que la couronne le suppléante dans ses possessions. Aussi il a pour ambition de devenir la garde rapprochée des San-Guy ; remplaçant leur propre hommes ; afin de devenir un réel contre-pouvoir au sein de l’État. |
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Paysans Archers (16)
: "Le Bataillon de Nabirac"
80
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Paysans Archers (16)
: "Le Bataillon de San Abin"
80
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12 unités | 1664 points | 55.47 % | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Spéciale | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Chevaliers de la Quête (4)
: "Compagnie noble de la garde comtale"
104
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Écuyers (19)
: "La franche-compagnie de Roberto Di Bosco"
188
"Je guerroie le riche sauf s'il me paye", "Toujours voler aux riches pour donner aux pauvres ... et vu que je suis le plus pauvre que je connaisse..." sont les deux maximes fétiches de Roberto Di Bosco. Cet excentrique Tiléen offre ses services aux plus généreux mécènes. Son exile de Tilée est selon lui issu de son appel de l'aventure ou de la justice. Les plus mauvaises langues diront qu'à force de tirer la moustache des puissants, Roberto s'est fait de nombreux ennemis dans sa patrie natale... Peu lui importe, son génie ne sera reconnu qu'à sa mort (et un peu avant il espère).
Il est à la tête d'une bande de mercenaires équipés de grand-arcs ce qui leur permets de causer un maximum de dégâts tout en étant éloigné du grabuge. Les couleurs blanche et rouge les représentant sont celles de la ville ayant vue naître leur chef (ce dernier désignant régulièrement plusieurs citées différentes). Battant la campagne à la recherche de nouveaux contrats, Roberto a fait la rencontre de Peire San-Guy. Bien que le déroulé de cette dernière fut flou, le résultat est aujourd'hui connu de tous au Castel Milac : L'éloquent mercenaire est au service de la citée qui l'emploi de manière préférentiel. En tant de guerre il se tient donc au coté du Prince et en tant de paix il est possible de le trouver dans une taverne en train de se saouler ou de raconter des histoires épiques dont il est le personnage principal (parfois les deux en même temps...). Roberto est toujours accompagné de Mariana, une femme rencontré sur sa route qui lui voue selon lui un véritable culte. Selon elle elle était autrefois tavernière et se bon vieux Roberto il lui doit une sacrée ardoise... Quoi qu'il en soit, il possible de toujours la retrouver à ses cotés en train de lui servir un verre et de prendre des notes. |
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Reliquaire du Graal et Pèlerins (32)
: "Les Bon Hommes "
321
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3 unités | 613 points | 20.43 % |
Points : | 2531 |
Figurines : | 212 |
Unités : | 17 |
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